« Une peinture à la limite de l’abstraction, ou la réalité n’est plus que sensation, impression, émotion. Le geste, la rapidité. « Je peins trés vite, et je détruit beaucoup. Il serait temps que je commence à m’assagir ! » S’assagir signifie pour lui, freiner, retenir, maitriser le geste, parvenir à cette suggestion de l’espace et à cette savante simplicité dans lesquelles excellait Matisse ; et approchait la subtile, l’éclatante, la merveilleuse lumière de Bromard. » L’oeil – Pierre Brisset – 1983
« Un monde purement émotionnel qui s’est substitué à la figuration initiale. ébloui par tant de splendeurs, l’Artiste a peint son propre éblouissement. » Le Monde – J.M DUNOYER 1983
« HUMAIR ne veut pas traduire littéralement la nature, il donne à voir des émotions. » Centre culturel Suisse – Paris – Itinéraires Dessins. B.P. CRUCHET 1977
« Plus spontané, mais aussi déchiré devant la nature, Michel HUMAIR se délivre en interrogeant, en explorant avec fougue, avec passion, le paysage qu’il dilue et transpose. Peinture contrastée, irriguée par une profonde sensibilité. » – Nouvelles de France – Gaston DIEHL 1983
« L’artiste fait du non figuratif avec pour base la perception du monde sensible. » – Lausanne Galerie Planque – C.F.B 1984
« Michel HUMAIR, c’est l’écartélement entre le spontané et la structure. » Cimaise – Paule GAUTHIER
« La sensibilité de Michel HUMAIR est toute de violence et de délicatesse, de pudeur et de générosité, autant de qualités (ou de défauts) qui font vibrer ses toiles dans un espace de liberté. » – YOURI – Bibliothèque d’Achéres – 2001