Je ne sais pas, je ne pense pas, je peins.” – Michel Humair

Michel Humair est un peintre de la Nouvelle Ecole de Paris, né dans le Jura Suisse en 1926, installé en France en 1947 et décédé en 2019. Il qualifiait sa démarche d’Impressionnisme d’abstraction lyrique”.

Lumière d'été - Acrylique sur toile - 195 x 130 cm - Michel Humair
Lumière d’été – acrylique sur toile – 195 x 130 cm

Humair appartient à la seconde génération d’une abstraction qui privilégie le geste et le mouvement sous-jacents à une émotion fervente. Celle-ci passe par les couleurs et les contrastes, par les formes et par une matière sensuelle dont il exploite les richesses expressives au service de ce qu’il veut traduire : la vérité de son paysage.”

Lydia Harambourg – La Gazette de l’Hôtel Drouot – 8 Septembre 2016

Michel Humair, peintre secret, est un des artistes de ce temps qui demeureront.”

Youri – Bibliothéque d’Achères –  Exposition 2001

Les toiles de Michel Humair ne se laissent jamais quitter. Elles deviennent compagnon de route, de vie. Elles sont délicatement impératives.”

Bernard Ethuin Coffinet – Émotions du réel” au Musée de Sens – , avril 2006

Lumière d'été - Acrylique sur toile - 195 x 130 cm - Michel Humair
Lumière d’été – acrylique sur toile – 195 x 130 cm

Michel Humair est un peintre de la Nouvelle École de Paris, né dans le Jura Suisse en 1926, installé en France en 1947 et décédé en 2019. Il qualifiait sa démarche d’Impressionnisme d’abstraction lyrique”.

Humair appartient à la seconde génération d’une abstraction qui privilégie le geste et le mouvement sous-jacents à une émotion fervente. Celle-ci passe par les couleurs et les contrastes, par les formes et par une matière sensuelle dont il exploite les richesses expressives au service de ce qu’il veut traduire : la vérité de son paysage.”

Lydia Harambourg – La Gazette de l’Hôtel Drouot – 8 Septembre 2016

Michel Humair, peintre secret, est un des artistes de ce temps qui demeureront.”

Youri – Bibliothéque d’Achères – Exposition 2001

Les toiles de Michel Humair ne se laissent jamais quitter. Elles deviennent compagnon de route, de vie. Elles sont délicatement impératives.”

Bernard Ethuin Coffinet – Émotions du réel” au Musée de Sens – avril 2006